*cadrage sur un eniripsa tout rouge, sourire flamboyant aux lèvres*
"hum hum! Je tenais à m'excuser auprès de Kamatari - mais avant ça, je voulais revenir ce qui est arrivé ce jour.
Tout partait d'une revue zoologique sramesque retrouvée par notre sramette préférée : Nasukka. Cette revue très sérieuse, ayant des auteurs aussi connus que : le boucher d'amakna, du Majordhomme le massacreur de chenilles ou encore de Hénéthor et son célèbre livre : comment maquiller les chacha en chacha tigrés.
Cette revue parlait d'une nouvelle méthode de cuissons des pains. Cette méthode nécessitait outre les éléments pour faire les pains, un familier. Après concertation, celui de Hénéthor pouvait parfaitement faire l'affaire. Malheuresement, le panda n'était pas assez soult pour nous passer son chacha comme la dernière fois avec son bworky ou on avait essayé de le gonfler au maximum pour essayer de lui faire porter plus de poids. Affaire qui s'était finit par l'explosion dans le ciel d'Astrub. Explosion dont on voit les restes dans le quartier des bouchers.
Mais bon, ou trouver un chacha si Hénéthor, ne voulais pas nous préter le siens...
Heuresement, Kamatari nous souffle une idée : son frère Kaadhem fait aussi l'élevage de chacha et qui plus est il dort!!
Courageusement, je suis allé bien sur emprunter un chacha à l'éleveur, avant de lui donner un grand coup de marteau, celui ci ronflant un peu fort.
La suite vous me demanderez? Et bien c'est simple, avec Nasukka on s'est donné rendez vous à la boulangerie de bonta afin de tester la recette. Après un petit temps de chaffe, Nasukka enfourne son pain et moi je jette le petit chacha tout mignon dans le four. ET la... pif, paf pour!!!! Des étincelles de toutes les couleurs!
Nasukka, d'un coup de main d'experte sort le jolie pain et me l'offre. D'ailleurs, j'ai fais un dessin de ce pain :
Donc, je souhaite m'excuser auprès de kamatari pour ne pas l'avoir attendue, ne pas l'avoir laissée prendre plus de chacha, ne pas l'avoir laissée assommer son frèrot chérie.
Pardon!
*fin du plan sur le même eniripsa croquant à pleine dents dans son pain*